10 bonnes raisons de débuter la course à pied

Que tu hésites encore à débuter la course à pied, que tu sois déjà convaincu(e) par cette discipline depuis belle lurette et simplement heureux(se) à l'idée de lire que tu as fait le bon choix (même si ça, tu le savais déjà), ou que tu cherches — en plus des tiens — des arguments de choc pour convaincre quelqu’un d’enfiler ses baskets, cet article est fait pour toi. 💁🏾‍♀️

Ici, tu découvriras en toute objectivité (c’est faux) pourquoi la course à pied est un sport que tu ne regretteras pas d’avoir adopté et tout ce que ce dernier a à t’apporter. Et on préfère te prévenir : il est très probable que l’envie de courir te démange fortement après la lecture de cet article (et même avant). 🐜

Flashback : nous sommes en plein cours d’EPS, les élèves courent autour du stade de foot. Et puis il y a toi. (Très mal) planqué(e) derrière un arbre. Faire de l’exercice et transpirer ? Très peu pour toi, et pour quoi faire, d’abord ? Si c’est pour sentir le fauve le reste de la journée, ce n’est même pas la peine d’y penser. Quant à courir sous la pluie lors du cross du collège, c’est simple : c’est niet. Oui, ce personnage hautement sympathique n’est autre que toi, il y a quelques années (décennies ? Pardon 🤐) de cela. À l’époque, il n’y avait pas moins sportif(ve) et convaincu(e) à l’idée de ne pas l’être. Pourtant, aujourd’hui, la course à pied te fait de l'œil. Le running, c’est ce garçon ou cette fille que tu ne remarquais pas au collège et qui a glow up aujourd'hui, comme disent les jeunes. Le(la) discret(ète) matheux(se) de la 3e B, ultime beau(lle) gosse depuis quelques années (et pour celles à venir, à n’en pas douter). Oui, si on t’avait dit que tu flasherais sur la course à pied, tu ne l’aurais pas cru. Te voilà pourtant à admirer ces coureur(se)s qui passent sous ta fenêtre, à rêver d’en être, toi aussi. Un jour peut-être. Et un jour, justement, l’envie de t’y essayer est trop forte. Alors tu enfiles une vieille paire de baskets et un accoutrement qui se rapproche le plus de la panoplie du(de la) coureur(se) (enfin, selon toi) : un vieux tee-shirt en coton datant de tes vacances au camping et un jogging qui frictionne bruyamment à chacune de tes foulées. Sur le coup, tu as détesté courir. C’était dur, “pouuuaaa, qu’est-ce que c’était dur !”. Pourtant, tu y es retourné(e). Pas pour le style, pas pour la fame, juste parce que, mine de rien, tu commençais à aimer ça. Aujourd’hui, c’est bien plus que cela : ton look a évolué, ta foulée aussi, et ton amour pour la course à pied, lui, ne fait qu’augmenter… si bien que tu te demandes comment tu pourrais t’en passer. 🤷🏼

Les journées à l’école, au travail ou à la maison au cours desquelles rien ne semble aller, on les connaît tou(te)s. L’angoisse des deadlines à respecter, l’impression de ne pas y arriver, et les imprévus qui s’enchaînent inlassablement, comme si l’univers n’avait rien de plus intéressant à faire que s’acharner sur nous. “Allez, une dernière petite contrariété pour la route, et après c’est bon… ou pas !” 😈

Quel pied de nez nous lui faisons lorsque, en laçant nos chaussures et en nous élançant de tout notre être vers l’avant, nous rattrapons la quiétude qui semblait avoir filé loin devant. En courant, on apprend qu’un problème en est véritablement un lorsqu’à la fin de notre footing/entraînement, on ne lui a toujours pas trouvé de solution. Courir règle nos souffles sur une fréquence plus apaisante, car malgré notre essoufflement, nous gardons le contrôle sur ce dernier. À mesure de nos foulées qui nous portent, courir nous rafraîchit les idées et le vent qui nous berce n’est pas sans nous rappeler que le simple fait de sortir suffit parfois à balayer les futilités qui nous semblaient pourtant insurmontables quelques instants auparavant. En courant, l’impossible n’existe pas car le mouvement nous met en marche vers son accomplissement.

💡 C’est la science qui le dit !

- Les endorphines, aka les hormones du bonheur, sont des molécules secrétées par le cerveau, notamment lors d’une activité physique telle que la course à pied. Celles-ci concourent à améliorer l’humeur et la concentration, mais aussi la qualité du sommeil. Elles ont également des effets anxiolytiques (elles diminuent le stress) et antalgiques (elles diminuent la sensation de douleur).

- En 2012, après avoir passé en revue de nombreux articles scientifiques, le réseau mondial d’expert(e)s Cochrane a conclu que l’activité physique possède une influence positive sur les symptômes dépressifs.

- En octobre 2020, la revue scientifique The International Journal of Environmental Research and Public Health a publié une comparaison entre 116 études traitant de la relation entre la course à pied et la santé mentale. Sur ces 116 études, 16 se concentrent sur des mesures de santé mentale chez des coureur(se)s et des non-adeptes du running. Le résultat est sans appel : les coureur(se)s sont moins déprimés, anxieux, sujet(te)s au stress, bénéficient d’un meilleur bien-être psychologique et affichent une meilleure humeur que les personnes sédentaires.

- Dans un article du National Geographic, Karmel Choi, psychologue clinicienne au Massachussetts General Hospital et à la Harvard Medical School, évoque une étude révélant que des personnes souffrant de dépression et ayant adopté la course à pied de manière régulière dans leur quotidien se rétablissaient aussi vite que des personnes qui prenaient des antidépresseurs. Suite à une autre étude, son équipe de chercheur(se)s considère que si l'on troquait quinze minutes de position assise contre quinze minute de course à pied journalières, le risque de dépression serait alors revu à la baisse, à hauteur de 26 % précisément. 

Évidemment, parce que la course à pied est d’abord une activité physique, tu te doutes que ses bienfaits sont nombreux :

Si tu cherches encore à être convaincu(e), fais-nous signe ! 👋

Que ton objectif soit d’améliorer ta santé physique, de perdre du poids ou de te remettre en forme, nous t’expliquons rapidement les bonnes pratiques à adopter afin que tes débuts dans le monde du running soient fructueux et motivants.

Que tu sois débutant(e) ou coureur(se) chevronné(e), la règle est simple et est toujours la même : la progressivité est la clé de ta longévité dans ce sport. Elle te préservera des risques de blessures et des baisses de motivation. Nous te conseillons ainsi d’augmenter progressivement ton volume d’entraînement (en termes de distance, de durée et d’intensité) à hauteur de 10 à 20 % par mois.

Et si tu chausses tes baskets de running pour la première fois, sache que tes sensations au cours de l’effort sont vouées à s’améliorer. Alors sois indulgent(e) envers toi-même : il est absolument normal de ne pas parvenir à courir longtemps tout en étant en parfaite aisance respiratoire et musculaire lors de ta première séance de course à pied, et même lors des suivantes. Tu verras, tu progresseras petit à petit. Doucement, mais sûrement.

Que tu coures pour la première fois de ta vie ou que tu reprennes le running après une longue coupure, la règle est strictement la même : encore une fois, il s’agit de faire preuve de progressivité. Contrairement au(à la) coureur(se) complètement novice, tu as pour avantage de bénéficier de la mémoire de ton corps pour te rappeler au bon souvenir de la mécanique de la course à pied. Les sensations reviendront (plus ou moins) vite ! 😎

On préfère calmer d’emblée tes ardeurs : il n’est pas raisonnable de débuter ou de reprendre la course à pied par un run de dix kilomètres. Nous te conseillons d’opter pour une sortie de vingt minutes au cours de laquelle tu peux alterner entre une minute de footing et une minute de marche. Au fil des entraînements et des semaines, tu pourras ensuite augmenter progressivement la durée consacrée à la course à pied, pour finalement parvenir à courir sans t’arrêter ! 🎉

Pour débuter la course à pied sans risquer de te blesser, il est essentiel d’adopter une pratique progressive. Comme nous le disions, l’augmentation de ton volume d’entraînement ne doit pas dépasser 10 ou 20 % par mois. Nous te recommandons également d’écouter ton corps et tes sensations. Si tu sens une gêne musculaire, articulaire ou autre, n’hésite pas à écourter ta séance et à aller consulter un(e) professionnel(le) de santé. Le renforcement musculaire, les étirements, ainsi qu’une bonne hygiène de vie (une alimentation variée et équilibrée, un sommeil de qualité, et cætera) sont des curseurs sur lesquels tu peux/dois jouer pour préserver et optimiser ta récupération.

L’allure idéale pour débuter la course à pied est celle qui t’est propre. Inutile de te comparer au rythme des autres, le seul qui doit t’importer est le tien, et cela tombe bien : c’est le seul qui nous intéresse. En courant plus vite que la vitesse à laquelle tu es censé(e) aller en endurance fondamentale (et encore plus lorsque tu débutes la course à pied), tu risques une importante fatigue musculaire de laquelle pourrait malheureusement découler une blessure. Alors on y va mollo avant d’y aller à fond les ballons. 💨

Si tu ne doutes pas du fait que ta relation avec la course à pied soit réciproque (vous vous aimez tou(te)s les deux et chacun(e) le rend bien l’autre), tu pensais cependant peut-être que tu étais la seule personne au monde à aduler cette discipline (oui, rien que ça ! 🤠). Finalement, peu après tes premières foulées, tu as découvert qu’il n’en était rien : nous sommes des millions à courir et à aimer éperdument cela ! Compte tenu du nombre de passionné(e)s que nous sommes, imagine donc combien nos opportunités de nous faire des ami(e)s sont infinies. C’est précisément ce qui est formidable avec la course à pied : nous avons beau nous croiser au quotidien sans forcément nous prêter attention, occupé(e)s et stressé(e)s que nous sommes, lorsque nous revêtons notre habit de lumière et commençons à courir, c’est un nouveau monde qui s’ouvre à nous. Et si nous pratiquons cette activité physique en solitaire, nous découvrons soudain que nous ne sommes pas (plus) seul(e)s dans notre solitude. Il y a d’autres coureur(se)s, d’autres marcheur(se)s, d’autres passant(e)s. Il y a d'autres êtres humains. Courir active notre détecteur d’âmes et lorsque nous ne les saluons pas, c’est que nous sommes parfois occupé(e)s à sympathiser avec elles. Nous sommes si différent(e)s et pourtant tellement semblables, et la course à pied est là pour nous le rappeler. En plus d’assembler les morceaux de nous qu’il concoure parfois à réparer, ce sport nous rassemble tou(te)s ensemble.

Nous le disions, courir nous fait ouvrir un œil nouveau sur ceux qui nous entourent… mais aussi sur ce qui nous entoure. On ne voit jamais aussi bien que lorsqu’on prend le temps de courir et de regarder autour de soi. Nous te mettons au défi de te rendre en courant sur un itinéraire que tu empruntes chaque jour via un autre moyen de transport et de ne pas y déceler de nouveauté(s). Pourquoi sommes-nous si sûr(e)s de nous ? Tout simplement parce qu’en courant, notre attention se dirige ailleurs que sur la conduite de notre voiture, sur le planning chargé qui nous attend dans la journée, ou sur la crainte d’arriver en retard au travail. Le superflu s’envole au rythme de nos foulées et nous remarquons soudain les détails qui ont toujours été là et que nous ne voyions pourtant pas. Un chien derrière une clôture, une mamie qui prend soin de ses plantes ou la forme d’un tronc d’arbre. En fait, il n’est pas nécessaire de chercher le dépaysement à l’autre bout du monde, parfois, il suffit de voir, pour la première fois, ce qui se trouve déjà autour de nous.

Dans une société dans laquelle l’ennui est associé à une perte de temps et où chaque parcelle de notre journée doit être dédiée à ce que nous jugeons être productif, se retrouver en face-à-face avec soi-même le temps d’un run n’est, a priori, pas la chose la plus réjouissante qui soit. Pourtant, apprécier ta propre compagnie en dit long sur toi : es-tu en accord avec la personne que tu es ? Apprécies-tu le silence autour de toi, celui qui te revoit à ta propre présence (oui, la course à pied, c’est très métaphysique 🧘) ? Évidemment, le running ne se pratique pas nécessairement en solo, mais si l’on ne veut compter que sur soi-même pour enfiler ses baskets, il faut apprendre à y aller sans l’impulsion d’un groupe dans lequel nous souhaitons fitter. Ce qu’il faut, c’est apprendre à nous fier à notre propre élan, à notre propre envie d’aller courir sans que le fait que nous soyons seul(e)s n’entache notre expérience. En choisissant de débuter la course à pied, et ce, sans que tes objectifs ne soient nécessairement liés à la performance sportive, tu te donnes une chance de te prouver que tu es capable, juste capable. Capable de te tenir à une routine, capable de progresser, capable de rester en tête-à-tête avec toi-même sans t’ennuyer, et en t’appréciant. Et ça, c’est déjà une belle victoire à célébrer ! 🏆

Si courir nous renvoie à nos forces, cette activité nous renvoie aussi inéluctablement à nos faiblesses. Et heureusement d’ailleurs. Heureusement, parce que sans cela, nous n’aurions jamais l’occasion de transformer nos faiblesses en forces, et d’améliorer ces dernières. On pense notamment à la résilience dans l’effort, lorsque courir est source d’inconfort et que l’on parvient à dompter nos pensées limitantes pour nous rendre au-delà de la douleur physique et/ou mentale, et au bout de notre défi (évidemment, il faut aussi savoir s'écouter). Comment apprendre à faire taire cette voix qui nous chuchote que nous devrions nous arrêter, là, maintenant, tout de suite ; que ce que l’on est en train d’accomplir n’en vaut pas la peine, et que nos attentes ne seront de toute manière pas comblées, si l’on ne s’en donne pas l’opportunité ? Les échecs — qui sont d’ailleurs plutôt des apprentissages pourvu que l’on sache les analyser et en retirer des leçons constructives — et les déceptions nous portent vers nos futures victoires personnelles. Le véritable succès est de parvenir à savourer ces dernières avec humilité, en ayant conscience que nos acquis d’aujourd’hui ne sont pas ceux d’hier, ni forcément ceux de demain, et que nos réussites ne signent pas les défaites d’autrui. 🙏

Ce n’est pas parce que nous proposons des plans d’entraînement que notre ultime vocation soit de te préparer à une compétition. En débutant la course à pied, ton objectif peut tout aussi bien être celui d’une remise en forme, d’une reprise de la course à pied en douceur ou d’une pratique récréative. Tu ne seras pas moins coureur(se) si tu choisis de ne pas concourir. Garde bien cela en tête, tout le temps, que tu débutes où que tu coures depuis plusieurs mois/années. Le week-end n’est pas nécessairement synonyme de compétition, comme il peut tout autant l’être. Concourir est un choix individuel et respectable, même s’il est différent du nôtre. De la même manière que lorsque tu choisis de t’adonner à la compétition, la distance que tu accomplis n’est pas gage de valeur à mesure qu’elle augmente ou que ton chrono descend : 5 kilomètres, 10 kilomètres, semi-marathon, marathon, ultra-endurance, trail court, trail long, ultra-trail… fais bien ce dont tu as envie et comme tu le veux/peux, et ça sera déjà bien assez ! 😉 La course à pied fait partie intégrante de ta vie, et toi de la sienne, qu’importe de quelle manière tu choisis de la vivre. L’important, c’est de la vivre. L’important, c’est de te sentir vivant(e) à son contact. L’important, c’est d'avoir conscience que tu te trouves au bon endroit... C'est d'ailleurs peut-être ce que tu as ressenti lorsque tu as débuté la course à pied... ? 🐣

Sur une note plus légère et superficielle, qui aurait cru que tu prendrais autant de plaisir en courant qu’en t’habillant pour aller courir ? Peut-être tout le monde (si tu es de la team accro du shopping), sûrement personne (si tu es de la team allergique aux magasins). En tout cas, on n’a jamais dit que la pratique du running ferait plaisir à ton(ta) banquier(ère) et à ton porte-monnaie, hein ! 💸

Si la course à pied n’est pas l’activité sportive la plus onéreuse qui soit, il n’empêche que l’équipement running représente un certain budget, plus ou moins conséquent suivant tes goûts et tes attentes. Chaussures d’entraînement, chaussures de compétition (si tu es puriste), montre GPS, vêtements techniques, matériel audio conçu pour ta pratique, frais d’inscription à des compétitions (si tu choisis de concourir), et on en passe. Si au premier abord, tu as l’impression de ne jamais pouvoir être en mesure de maîtriser un jour le sujet sur le bout des doigts, rassure-toi : apprendre et mettre en application les codes du running est plutôt simple et efficace. À savoir que le style n’a rien à voir avec ces codes en question, ces derniers se limitant principalement à ne jamais demander à quelqu’un (c’est une astuce, juste entre nous) : “tu as fait un marathon de combien de kilomètres ?”, ou encore “combien de tours tu as couru” (des tours de quoi ? On se le demande encore). Bref, on retiendra également que l’habit ne fait pas le moine. Tu serais même étonné(e) de découvrir combien, après plusieurs années de pratique, on peut facilement davantage se laisser impressionner par une paire de chaussures à 300 € que par le plan d’entraînement effectué par son(sa) propriétaire. La leçon à retenir de tout cela : pas besoin d’être équipé(e) de la tête aux pieds avec des accessoires hors de prix pour être un(e) coureur(se). Les raisons qui font que nous en sommes ou n’en sommes pas, et qui nous poussent à débuter la course à pied doivent être plus profondes que la simple envie de déambuler en grand apparat (même si nous vêtir pour aller courir reste un plaisir à peine coupable 🙈).

Oui, suivre un plan d’entraînement qui te fera progresser constitue bel et bien une raison (et une bonne, qui plus est !) de débuter la course à pied. Pourquoi ? Tout simplement pour apprécier le fait d’être bien accompagné(e) dans tes objectifs de performance, de remise en forme ou de mise en place d’une routine sportive hebdomadaire qui soit encadrée et adaptée à ton profil et à tes besoins. Bien sûr, nous serons ultra précautionneux(ses) afin que tes débuts dans la discipline se déroulent dans les meilleures conditions possibles : si tu n’as jamais couru auparavant, tu débuteras par une période d’adaptation au cours de laquelle tu alterneras entre marche et course à pied lente durant environ 20 minutes. Puis tu découvriras le plaisir d’effectuer un footing complet sans t’arrêter pour reprendre ton souffle (quoi que, t’arrêter pour reprendre ton souffle, c’est aussi très bien !). Si tu souhaites ensuite progresser en termes d’endurance, tu réaliseras notamment des entraînements en endurance fondamentale, et pour améliorer ta vitesse, tu seras amené(e) à effectuer des séances de VMA (vitesse maximale aérobie). Bref, tout est prévu pour que ton corps, tes muscles et ta tête s’adaptent progressivement à la course à pied, histoire que cette activité devienne l’une de tes routines bien-être préférées.

En plus de nos plans d’entraînement sur mesure, tu peux également compter sur la communauté Campus : des gens passionné(e)s, comme toi, par la course à pied et qui souhaitent tou(te)s s’accomplir personnellement au sein d’un collectif ultra motivant. 😍

Si tu avais (encore) besoin de l’être, nous espérons sincèrement avoir trouvé les mots pour te motiver à enfiler tes baskets, débuter la course à pied et partir à la découverte de tes capacités physiques et mentales. Tu le mérites, alors donne-toi les moyens de te réaliser en partie à travers le running. Go, go, go ! 🚀